mardi 23 octobre 2012

Sorry, I'm closed !


Après quelques mises à jour (ici, ou encore ... entre autres), 
je ferme le zapbook quelques jours pour cause de maladie.

vendredi 19 octobre 2012

Matricule, matricule

Pour ou contre le retour du matricule visible sur la veste des policiers ? 
Moi je suis Pour : en cas de bavure, on pourra ainsi retenir aisément le numéro : 25ct6124l893xg5684799

mercredi 17 octobre 2012

Bravo M. le Président


Hollande reconnaît la 

répression du 17 octobre 1961, critiques à droite



Des Parisiens regardent des vêtements abandonnés par des Algériens dans la bousculade due à l'intervention de la police.


"La République reconnaît avec lucidité" la répression "sanglante" de la manifestation d'Algériens à Paris le 17 octobre 1961, a déclaré mercredi François Hollande"Le 17 octobre 1961, des Algériens qui manifestaient pour le droit à l'indépendance ont été tués lors d'une sanglante répression, reconnaît M. Hollande, selon un communiqué de l'Elysée. La République reconnaît avec lucidité ces faits. Cinquante et un ans après cette tragédie, je rends hommage à la mémoire des victimes."
Lundi, le Parti socialiste avait réclamé "une reconnaissance officielle" de la répression de cette manifestation, qui avait fait de nombreux morts. François Hollande, qui avait rendu hommage il y a un an aux victimes lors du cinquantième anniversaire de cette page noire de l'histoire française, a fait de cette reconnaissance une de ses promesses de campagnes. Il a signé l'"Appel pour la reconnaissance officielle de la tragédie du 17 octobre 1961 à Paris" lancé par le site d'information Mediapart. Le président doit se rendre début décembre envoyage officiel en Algérie pour sceller de nouveaux rapports entre la France et son ancienne colonie.

LE PEN CRITIQUE "TOUTES CES REPENTANCES"
Jeudi, Marine Le Pen, présidente du Front national, a lié la multiplication des actes de repentance publique avec l"hostilité" vis-à-vis de la France"Vous n'avez pas le sentiment que toutes ces repentances ont une influence sur la manière dont un certain nombre de nouvelles générations de Français d'origine algérienne ont une hostilité maintenant à l'égard de la France, quasiment une haine, et même le sentiment que la France leur doit quelque chose qu'ils viennent d'ailleurs chercher, pour certains, de gré ou de force ?", a-t-elle demandé.
Elle a attaqué François Hollande : "Ça doit être sa troisième repentance en cinq mois, il fait encore plus fort que Jacques Chirac. Faudrait peut-être qu'il regarde l'avenir""A quand la repentance pour la Saint-Barthélemy ?" a-t-elle interrogé. Mettant en doute la manière dont s'est déroulée la répression sanglante – un"événement éminemment contesté dans la réalité de ce qui est exprimé" –, Marine Le Pen a demandé une "réciprocité" de l'Algérie dans la reconnaissance de ses actes, parlant des "milliers de morts et de mutilations" à mettre au compte du FLN et le "pillage et destruction" des cimetières où étaient enterrés les pieds noirs.

LE PS CONDAMNE LES CRITIQUES DE JACOB
Le communiqué de l'Elysée a aussi été vivement critiqué par le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob. "S'il n'est pas question denier les événements du 17 octobre 1961 et d'oublier les victimes, il est intolérable de mettre en cause la police républicaine et avec elle la République toute entière, écrit ce dernier. François Hollande doit rassembler et sa tentative de politiser les enjeux de mémoire d'une période difficile de notre histoire est dangereuse pour la cohésion nationale."
Harlem Désir, futur patron du Parti socialiste, a "condamné avec la plus grande fermeté" les propos de Christian Jacob"Par ses propos, M. Jacob se fait l'avocat indécent d'une répression qui a enfreint, ce soir du 17 octobre 1961, toutes les valeurs et toutes les règles fondamentales de la République", estime-t-il. Or"depuis l'ouverture des archives officielles, les historiens ont établi l'ampleur de la répression meurtrière des manifestations pacifiques d'Algériens conduite sous les ordres du préfet Maurice Papon", affirme-t-il. Selon M. Désir, "M. Jacob offre surtout au préfet Maurice Papon une terrifiante réhabilitation et se livre à une falsification insupportable de l'histoire".

DÉBATS PARLEMENTAIRES
Une proposition de résolution sur la reconnaissance du massacre a été déposée par des sénateurs communistes au début de l'année. Elle sera examinée le 23 octobre. A l'Assemblée nationale, le député Front de gauche François Asensi a lui déposé mercredi une proposition de loi afin que toute la lumière soit faite sur ces événements.
Le député ex-PC de la Seine-Saint-Denis rappelle que depuis 1997, il demande l'ouverture des archives du ministère de l'intérieur "parce qu'une démocratie digne de ce nom ne peut maintenir le secret sur ces terribles événements""L'adoption de cette proposition de loi serait un geste de concorde à l'adresse du peuple algérien, ce peuple ami, et contribuerait au rapprochement entre nos deux peuples", conclut François Asensi.

HOMMAGE DE BERTRAND DELANOË
Mercredi, le maire socialiste de Paris, Bertrand Delanoë, a rendu hommage aux victimes de la répression du 17 octobre 1961, un "moment d'histoire tragique""Le respect du peuple algérien c'est de dire la vérité, la vérité c'est que le 17 octobre 1961 de très nombreux Algériens ont été jetés à la Seine, massacrés alors qu'ils manifestaient pacifiquement pour un droit à l'indépendance", a déclaré M. Delanoë après avoir déposé une gerbe de fleurs devant la plaque commémorative qu'il avait inaugurée en 2001 au pont Saint-Michel.
L'ambassadeur d'Algérie à Paris, Missoum Sbih, qui a lui aussi déposé une gerbe, a dit espérer que M. Delanoë soit "entendu""Les signes sont nombreux depuis l'élection du président Hollande, ils sont nombreux, ils sont multiples, ils sont très encourageants", a-t-il ajouté.

Bonne fête à tous les Beaudouin !


mardi 16 octobre 2012

Hips !

Moi, le cabannis, je dis non à la dénépalisation. Je dis comme Copé, c'est une grode, et c'est envoyer un mauvais gnissal à la neujesse. L'improtant, c'est que le brodeaux reste en vente libre....

jeudi 4 octobre 2012

Can he ?

Cette nuit, débat Obama-Romney. Romney aura dû convaincre qu'il n'est pas un mormon milliardaire qui méprise les pauvres, et Obama qu'il n'est pas un Noir démocrate. Facile pour personne.